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L’histoire de la calvaire remonte bien avant l’arrivée de Christ ici-bas. Mais ce sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour utiliser les personnes. La victime était attachée à la crucifix par des filets, ou ses mimines y étaient clouées, et on le laissait foncer. Même avec la chaleur des rayons du soleil, la traction physique et la crise que la mort avait endurée avant d’être crucifixion, il lui fallait parfois une semaine pour rejoindre. ce sont souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une calvaire comme personnalisation de la Église et toutes les fois que l’évangile est placardé, ceux qui entendent l’information et reçoivent Christ comme Sauveur s’imposent à Lui par la foi, par le procédé pour la crucifix.
La croix de Saint-André est une tau qui a l’apparence d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été crucifié sur une croix de cette forme. Elle peut aussi être désignée calvaire décussée, ou fichu, et est très utilisée sur les images et les drapeaux, ou bien comme identité d’avertissement. La crucifix de languedoc-roussillon ( ou crucifix patriarcale ) est une crucifix romaine avec une 2ème barre horizontale tout en haut. Elle était agencée sur les blason des archevêques puis fut utilisée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de haute-normandie par la suite. La barre souveraine représente un enseigne qui aurait été placé set du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).
Selon la légende estimé, la crucifix kymrique est introduite par st Patrick lorsqu’il convertit les païens d’Irlande au Christianisme. Il est dit que saint Patrick aurait fabriqué la tau latine simple avec le symbole orbite des rayons du soleil païen pour donner aux adhérents fraîchement convertis l’idée de l’importance de la crucifix protestant en la joignant au symbolisme psychologique des qualités vivifiantes du soleil. plusieurs affirment plutôt que déposer la tau paroissien en haut du clan représente la primauté du Christ sur le dieu-soleil, qui était adoré par les païens. Selon quelques source encore, les cercles autour de l’intersection de la croix paroissien sont l’unification, la totalité, et l’inclusion de la aveu dans notre vie. Toutefois, il est clair qu’une grande partie de la story oral et de la sagesse des vieilles voies celtes est perdue.
Le pape François remet au cœur de notre maîtrise le but de l’être humain, soit celle de m’introduire dans la «mystique du vivre ensemble», véritable destination de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens de noter un prenant, dans l’écoute, la comprehansion, l’accompagnement. Nous devons adopter les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins utilité de calvaire que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’existence divin. Voilà le véritable sens qu’est arrivé fournir la Croix !
Le mot « Croix » dérive du latin Crux. Chez les aînés romains, il s’agissait d’un device installé pour cravacher des terribles souffrances, la crucifixion quelque peu. Mais, en restant dans le contexte des symboles, rappelons-nous que dans la numération romaine le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une crucifix. En arrivant au Christianisme, comme nous l’avons déjà hâtif, la tau est l’indispensable marque identitaire de cette déclaration. Elle rappelle, en effet, le coté sombre de Jésus, martyrisé par ordre de Ponce Pilate, Procurateur romain de la gainier, qui le condamna comme la mort. Paradoxalement, d’un geste si bilieux et insensible, la tau vit le jour de nouveau et a assumé une valeur heureuse, parce que la passion et la morbidité de Jésus coexistant avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour le style masculin. Un marque identitaire d’amour totale, donc, de renoncement extrême.
L’agneau est très croyant : – Dans l’Ancien Testament il donne le gambits demandé par Dieu à Abraham, au lieu de celui de son fils. – Dans le Nouveau Testament l’agneau est le marque identitaire du Christ, appelé Agnus Dei dans l’Evangile de Jean. Il symbolise la pureté, la candeur, l’innocence et la justice. Jésus est le messie, l’agneau désiré, qui conduit le troupeau des astrakan de Dieu. pour finir, agneau de dieu s’offre en abandon pour la libération et le salut de l’homme, prenant donc la place de l’agneau sur l’autel qu’est sa crucifix. – Dans l’Apocalypse, 40 fois l’appellation pré-salé désigne le crucifié.
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